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 LA PRESENCE DU BERGER MARDI 23 OCTOBRE 2007

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guidobarbarossa




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Date d'inscription : 25/09/2006

LA PRESENCE DU BERGER   MARDI 23 OCTOBRE 2007 Empty
MessageSujet: LA PRESENCE DU BERGER MARDI 23 OCTOBRE 2007   LA PRESENCE DU BERGER   MARDI 23 OCTOBRE 2007 EmptyMer 24 Oct 2007 - 10:29

Le 23/10/07

La présence du Berger

Psaume 23 : 1-6

1 Cantique de David. L’Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.
3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
4 Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde.
6 Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j’habiterai dans la maison de l’Eternel Jusqu’à la fin de mes jours.


1-4 Pèlerinage

David dépend totalement de l’Éternel, comme une brebis dépend de son berger. Il y a ici deux aspects : d’une part la sérénité, se reposer dans de verts pâturages et près des eaux paisibles, suggère un bien-être physique ; d’autre part, la sécurité : un voyage protégé le long des sentiers de la justice suggère un calme personnel et un soulagement moral, car la vigilance protectrice du berger chasse toute anxiété. Ce thème est renforcé dans le sens d’une naïve libération de tout souci et d’un lien d’affection ineffable avec le berger.

5-6 L’hospitalité

Ces versets insistent sur le soin avec lequel David reconnaît la libéralité de l’Éternel, hôte parfait. Elle a deux aspects ; la plénitude : ses besoins et sa joie sont comblés à tous points de vue. Le croyant est libre de tout antagonisme humain. Le but final est que la relation avec l’Éternel soit riche et illimitée, ce qui est un privilège tout à fait personnel. Notez le contraste entre l’usage du Tu et celui du il dans la partie précédente.


Jean 21 : 15-17

15 Après qu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jonas, m ‘aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci? Il lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux.
16 Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
17 Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.


15 Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci ? A la fin du repas, le Seigneur se tourne vers Pierre avec cette question, qu’il répète encore deux fois. La nuit de la trahison, quand Christ a annoncé que ses disciples allaient l’abandonner dans l’épreuve qu’il allait subir, Pierre s’était écrié que même si les autres l’abandonnaient, lui ne le ferait pas. Ce que Christ a dit s’est effectivement passé, mais Pierre était si rempli d’amour, de fidélité, de vérité, qu’il acceptait de mourir pour Jésus. Cependant, avant le chant du coq, dans la nuit suivante, il a trois fois nié qu’il connaissait Jésus, même sous serment. C’était l’effondrement du disciple qui "aimait le maître plus que ceux-ci". Depuis cette chute, Christ avait rencontré Pierre parmi les autres disciples, sans faire aucune allusion à ce sujet, mais maintenant le moment est venu pour la réhabilitation de Pierre. C’est pour cela qu’il lui pose la question : M’aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci ? Cette question était pour rappeler à Pierre à la fois sa vantardise, et sa terrible chute. Ceci devait lui briser le coeur. Il ne clamera plus qu’il est le plus sincère du groupe des apôtres, mais il répond simplement : "Tu sais que je t’aime". Alors le Seigneur lui dit : "Pais mes agneaux".
16 Pais mes brebis. Une seconde fois le Seigneur éprouve Pierre avec la question. Notons d’ailleurs qu’il ne l’appelle pas "Pierre," le roc. Un disciple aussi fragile ne pouvait être appelé que Simon. Le Christ lui donne de nouveau la mission de "paître les brebis". Non seulement les agneaux, mais aussi les brebis du troupeau, de veiller sur les disciples du Seigneur, jeunes et moins jeunes. Trois fois Pierre a renié le Maître ; trois fois le Maître lui pose des questions sur son amour ; trois fois il lui confie une charge concernant son oeuvre. L’interrogation était douloureuse, Pierre était affligé, mais ce chagrin était sain, et toute la suite de la vie de Pierre a prouvé sa discipline. Sa témérité avait disparu pour toujours.
Tout comme Pierre avait renié le Seigneur trois fois, il lui fut donné trois occasions de le confesser.
17 Cette fois, Pierre invoqua le fait que Jésus était Dieu et par suite connaissait toutes choses. Il lui répondit la troisième fois : « Tu sais que j’ai de l’affection pour toi ». Et pour la troisième fois, Jésus lui dit qu’il pourrait le prouver en nourrissant les brebis de Christ. Ce passage nous enseigne que l’amour pour Christ est l’unique motivation qui convient pour le servir.


Romain 14 : 17

17 Car le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit.

17 Ce qui importe réellement dans le royaume de Dieu n’est pas notre régime alimentaire mais les réalités spirituelles. Le royaume de Dieu est le domaine où Dieu est reconnu comme le Chef Suprême. Au sens le plus large, il inclut tous ceux qui professent obéir à Dieu, mais en réalité il inclut seulement ceux qui sont nés de nouveau, et c’est ce qu’il signifie ici.
Les sujets de ce royaume ne sont pas sensés être attachés à un régime alimentaire particulier, ni à être connus comme gourmets ou fins connaisseurs des vins. Ils doivent se caractériser par une vie où règne la justice, avec une disposition en vue de la paix, de l’harmonie et par un esprit de joie, par le Saint-Esprit.


Jean 10 : 10

10 Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance.

10 L’unique but du voleur consiste à dérober, égorger et détruire. Il agit par pur égoïsme. De façon à satisfaire ses propres désirs, il irait jusqu’à égorger les brebis. En revanche le Seigneur Jésus ne se présente pas au coeur de l’homme par égoïsme. Il vient non pour obtenir mais pour donner. Il vient afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance. Nous recevons la vie dès l’instant où nous recevons Christ comme notre Sauveur. Après notre conversion, toutefois, nous découvrons que divers degrés de joie existent dans cette vie. Plus nous nous confions au Saint-Esprit, plus nous jouissons de la vie reçue. Alors, nous n’avons pas seulement la vie, mais nous l’avons en abondance.

Lévitique 27 : 32

32 Toute dîme de gros et de menu bétail, de tout ce qui passe sous la houlette, sera une dîme consacrée à l’Eternel.

26-33 Les personnes ou les choses vouées à l’Éternel se distinguent de celles qui ne le sont pas et qui sont uniquement sanctifiées. Les choses vouées à Dieu étaient d’une sainteté toute particulière, elles ne pouvaient être reprises ni utilisées pour d’autres applications. Dieu devait être honoré par la dîme, dans la mesure du possible, en toutes choses. Les Israélites devaient exprimer leur reconnaissance à Dieu car c’est Lui qui leur donnait la terre et les fruits qu’elle rapportait : Ils n’étaient ici-bas que des "gérants," tous dépendaient de l’Éternel. C’est pourquoi ils exprimaient leur reconnaissance pour toutes ces grâces reçues, dans l’espérance que cela durerait. La Parole nous demande d’honorer Dieu par tous les moyens dont nous disposons.

1 Samuel 17 : 40

40 Il prit en main son bâton, choisit dans le torrent cinq pierres polies, et les mit dans sa gibecière de berger et dans sa poche. Puis, sa fronde à la main, il s’avança contre le Philistin.

40-47 La fausse sécurité dans laquelle se réfugient les insensés de ce monde, ainsi que leurs prétentions, sont à l’origine de leur anéantissement. Rien n’est mieux que l’humilité, la foi, et la piété, qui se dégagent des paroles de David. Il manifesta son assurance d’être le futur vainqueur de ce combat : Par ces paroles, malgré son apparence vulnérable, il annonça que seul l’Éternel lui attribuerait la victoire sur Goliath.
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