Mardi 02 Mars 2010
Service pour Dieu.
Luc 22 : 24-27.
24 Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation: lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand?
25 Jésus leur dit: Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs.
26 Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.
27 Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert? N’est-ce pas celui qui est à table? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.
24-25 Le fait qu’immédiatement après la cène, les disciples se soient demandé lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand nous apporte une terrible révélation sur le coeur humain. Le Seigneur Jésus leur déclara que dans son règne, la grandeur était à l’opposé de la conception que s’en font les hommes. Les rois qui dominent sur les nations sont généralement considérés comme de grands personnages au point d’être appelés bienfaiteurs. Mais ce n’est qu’un titre, car en réalité ils ne sont le plus souvent que de cruels tyrans. Ils portaient le nom de « bienfaiteurs », mais ils ne possédaient aucune de ses caractéristiques.
26 Il ne doit pas en être ainsi parmi les disciples du Sauveur. Celui qui veut être grand devra prendre la place du plus petit, et celui qui veut être chef devra prendre la place d’humilité au service des autres. Ces affirmations révolutionnaires sont aux antipodes des coutumes établies qui veulent que le plus jeune soit inférieur au plus âgé, et que le chef affiche sa grandeur par son expérience.
27 Selon l’opinion courante, un invité à table est plus grand que celui qui le sert. Mais le Seigneur Jésus est venu comme serviteur des hommes, et tous ceux qui veulent le suivre doivent l’imiter.
Marc 10 : 45
45 Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs.
45 Le Fils de l’homme a donné l’exemple suprême. Il est venu non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup. Pensons-y ! Il est venu par une naissance miraculeuse. Il a servi toute sa vie. Et Il a donné sa vie sur la croix, en substitution de la nôtre.
Comme nous l’avons déjà indiqué, le v. 45 est le verset-clé de cet Evangile. Il est à lui seul un résumé de toute une théologie ; il brosse le portrait de l’homme le plus extraordinaire que la terre ait jamais porté.
Jacques 4 : 17
17 Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.
17 Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché. Dans ce contexte, faire ce qui est bien, c’est tenir compte de Dieu dans tous les aspects de nos vies, c’est vivre chaque minute sous sa dépendance. Si nous savons que nous devons faire cela, mais que nous nous en abstenons, nous péchons. Bien sûr, ce principe s’applique sur un plan plus large. Dans tous les domaines de la vie, l’occasion de faire le bien nous rend responsables d’agir. Si nous savons ce qui est juste, nous sommes dans l’obligation de nous y conformer. Ne pas le faire, c’est commettre un péché contre Dieu, contre notre prochain et contre nous-mêmes.
Dans le *chapitre 4, Jacques nous demande de nous éprouver nous-mêmes au sujet de la convoitise, des luttes, de la médisance et des projets conçus en dehors du Seigneur. Posons-nous par conséquent les questions suivantes: Suis-je toujours désireux d’obtenir plus ou est-ce que je me contente de ce que j’ai ? Est-ce que j’envie ceux qui ont plus que moi ? Est-ce que je prie avant d’acheter ? Lorsque Dieu me parle, est-ce que je me soumets à lui ou est-ce que je lui résiste ? Est-ce que je parle contre mes frères ? Est-ce que je fais des projets sans consulter le Seigneur ?
1 Corinthiens 15 : 58
58 Ainsi, mes frères bien-aimés, soyez fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, sachant que votre travail ne sera pas vain dans le Seigneur.
58 Dans la perspective d’une résurrection certaine et du fait que la foi en Christ n’est pas vaine, l’apôtre exhorte ses frères bien-aimés à être fermes, inébranlables, travaillant de mieux en mieux à l’oeuvre du Seigneur, sachant que leur travail ne sera pas vain dans le Seigneur. La résurrection est une vérité qui change tout. Elle nourrit l’espoir et la fermeté, et nous rend capables d’affronter les circonstances les plus difficiles et éprouvantes de l’existence.
Malachie 3 : 9-10
9 Vous êtes frappés par la malédiction, Et vous me trompez, La nation tout entière!
10 Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison; Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, Dit l’Eternel des armées. Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux, Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance.
3: 7-12 Les hommes de cette génération se sont détournés de Dieu, ils n’ont pas gardé ses ordonnances. Dieu les appelle gracieusement. Mais ils ont dit: En quoi devons-nous revenir? Dieu s’aperçoit des fruits du travail de nos coeurs aux appels de Sa parole. Cela montre une grande perversité dans le péché, lorsque les hommes se servent de leurs malheurs pour excuser leurs péchés alors que ces afflictions sont envoyées pour les en séparer. C’est une exhortation pressante à la réformation.
Dieu doit être servi le premier, et les intérêts de nos âmes doivent passer avant les intérêts de nos corps. Faisons confiance à Dieu pour pourvoir à leur confort. Dieu a des bénédictions prêtes pour nous, mais par la faiblesse de notre foi et les limitations de nos désirs, nous n’avons pas la place de les recevoir. Celui qui passe les épreuves trouvera que rien n’est perdu lorsqu’on honore le Seigneur avec son bien.
Matthieu 9 : 35
35 Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité.
35 Jésus parcourait toutes les villes. Il commençait à élargir d’étendue de son ministère.
Ce verset marque le début de ce qu’on a coutume d’appeler le troisième circuit galiléen. Jésus parcourait toutes les villes et les villages, prêchant la bonne nouvelle du royaume, à savoir qu’Il était le Roi d’Israël, et que si la nation se repentait et le reconnaissait, Il régnerait sur elle. Israël a bénéficié d’une offre exceptionnelle. Que se serait-il passé si le peuple juif avait accepté ? La Bible ne répond pas. Nous savons que Christ aurait quand même dû mourir pour établir une base juste permettant à Dieu de justifier les pécheurs de tous les temps.
Tout en enseignant et en prêchant, Christ guérissait toutes sortes de maladies. De même que les miracles ont caractérisé la première venue du Messie plein de grâce et humble, ils accompagneront sa deuxième venue, en puissance et avec une grande gloire (Hébreux 6 : 5 : « les puissances du siècle à venir »).
Hébreux 6:5
Qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
Luc 16 : 10
10 Celui qui est fidèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes.
10 Si nous sommes fidèles dans la gestion des moindres choses (l’argent), nous serons fidèles dans les grandes (les trésors spirituels). En revanche, celui qui est infidèle dans la gestion de l’argent que Dieu lui a confié sera infidèle dans la gestion de choses plus importantes. L’importance toute relative de l’argent est soulignée par l’expression les moindres choses.
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