Psaumes 37:4
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 Suite de l'étude du 24 Octobre 06 L'obèissance et ..........

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guidobarbarossa




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Suite de l'étude du 24 Octobre 06 L'obèissance et .......... Empty
MessageSujet: Suite de l'étude du 24 Octobre 06 L'obèissance et ..........   Suite de l'étude du 24 Octobre 06 L'obèissance et .......... EmptyMer 8 Nov 2006 - 13:34

MARDI 07 NOVEMBRE 2006
L’obéissance et la crainte de l’opinion des hommes (suite).
Romains 12 : 1
1 ¶ Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable.
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu. La profondeur de la richesse de la miséricorde divine a été montrée dans l’argumentation des chapitres précédents. La compassion est pour les croyants, Juifs ou païens, et cette miséricorde est une perspective pour tout Israël. L’argumentation est maintenant terminée, les plans de Dieu ont été expliqués, et l’apôtre appelle ceux qui ont trouvé la compassion, au nom de cette compassion, à "considérer la bonté de Dieu".
A offrir vos corps comme un sacrifice vivant. La dispensation Juive, avec ses sacrifices était terminée; elle s’est achevée lorsque Christ, "notre pâque," fut offert pour nous.
Mais de nouveaux sacrifices sont venus. Nous devons nous offrir nous mêmes. Comme la victime sur l’autel était entièrement consacrée à Dieu, nos corps et tous nos membres doivent de la même façon être consacrés à son service. Et cela non comme des esclaves, mais comme "un sacrifice vivant". Nous faisons cela lorsque notre corps devient le temple du Saint-Esprit, et qu’il est utilisé pour servir Dieu. Un culte raisonnable. La consécration du corps à Dieu n’est pas un acte apparent, comme le sacrifice sur l’autel, mais une action de l’esprit, ou de la raison; d’où "un service raisonnable".

Esaïe 6 : 1-7
1 ¶ L’année de la mort du roi Ozias, je vis le Seigneur assis sur un trône très élevé, et les pans de sa robe remplissaient le temple.
2 Des séraphins se tenaient au–dessus de lui; ils avaient chacun six ailes; deux dont ils se couvraient la face, deux dont ils se couvraient les pieds, et deux dont ils se servaient pour voler.
3 Ils criaient l’un à l’autre, et disaient: Saint, saint, saint est l’Eternel des armées! toute la terre est pleine de sa gloire!
4 Les portes furent ébranlées dans leurs fondements par la voix qui retentissait, et la maison se remplit de fumée.
5 ¶ Alors je dis: Malheur à moi! je suis perdu, car je suis un homme dont les lèvres sont impures, j’habite au milieu d’un peuple dont les lèvres sont impures, et mes yeux ont vu le Roi, l’Eternel des armées.
6 Mais l’un des séraphins vola vers moi, tenant à la main une pierre ardente, qu’il avait prise sur l’autel avec des pincettes.
7 Il en toucha ma bouche, et dit: Ceci a touché tes lèvres; ton iniquité est enlevée, et ton péché est expié.

* La vision d’Ésaïe, contemplant le temple. (#1-Cool
#1-8 Dans cette vision, il est possible de contempler le temple, même dans le lieu Très Saint. Le prophète, debout, à l’extérieur de cet édifice, peut voir l’Éternel sur Son grand trône, se tenant au-dessus de l’arche de l’alliance, entre les chérubins et les séraphins; la Gloire de Dieu remplissait entièrement le temple. "Contempler Dieu sur son trône". Cette vision est commentée dans #Jean 12:41; Ésaïe voyait alors la Gloire de Christ, il décrivait ce Dernier, en tant que notre Sauveur, notre Dieu. Dieu est assis sur le trône de la Miséricorde; grâce à Jésus, "le lieu Très Saint" nous est désormais accessible: Par la foi, il nous est possible de voir le temple de Dieu, Son église ici-bas, remplie de Sa gloire. Les pans de Sa robe remplissaient le temple; ils remplissent également le monde entier, parce ce dernier est le "temple" de Dieu: Il demeure en effet dans chaque coeur repentant! Distinguons les différents personnages qui Le servaient: Au-dessus du trône se tenaient des anges, les séraphins, dont le nom signifie littéralement, "brûleurs"; ils "brûlent" en effet dans l’Amour de Dieu, et magnifient avec zèle, Sa Gloire et Sa haine du péché. Les séraphins en se couvrant la face, montraient qu’ils se soumettaient docilement aux ordres divins, bien qu’ils ne puissent pas comprendre en totalité les motivations secrètes de l’Esprit de l’Éternel, Son gouvernement, et Ses Promesses. Toutes les vaines considérations de ce monde, toute ambition, toute ignorance, et tout orgueil devraient être évincés à la simple contemplation de Christ, dans Sa gloire. Cette terrible vision de la Majesté divine, accabla le prophète, pécheur par nature. Nous serions anéantis, s’il n’existait pas de Médiateur entre nous et le Dieu trois fois Saint. Cet aperçu de la gloire divine est suffisant, pour nous convaincre que toutes nos prétentions de droiture ne sont en fait que de piètres "haillons"! Aucun homme n’oserait s’adresser au Seigneur, s’il voyait directement la Justice, la Sainteté, et la Majesté de Dieu, sans discerner en même temps Sa Miséricorde et Sa Grâce merveilleuses, par le biais de Jésus-Christ! Le charbon ardent, porté par l’ange, peut exprimer de la part du prophète, son assurance d’être pardonné, et de voir son travail béni, grâce à l’expiation de Christ. Pour restaurer et soulager l’âme, rien n’est plus puissant que la paix et le réconfort en Christ. L’abandon du péché est nécessaire avant toute communion confiante avec Dieu, soit par la prière, soit par le biais de la prédication; ceux qui se plaindront devant Dieu, de la lourdeur du fardeau de leur péché, avec tout le danger que cela comporte, se verront soulagés en Christ. Ceux que Dieu envoie en Son Nom, pour annoncer la Bonne Nouvelle, peuvent être assurés qu’ils seront soutenus par ce Dernier.

Marc 16 : 7

7 Mais allez dire à ses disciples et à Pierre qu’il vous précède en Galilée : c’est là que vous le verrez, comme il vous l’a dit.


Allez dire à ses disciples et à Pierre. Observons que la première apparition de Christ est pour Marie de Magdala, #Jn 20:18 de laquelle il a chassé sept démons, et un message particulier est destiné à Pierre, qui l’a renié. Ces points émouvants sont des preuves sur les dires du Sauveur, qui annonce qu’il est venu sauver les pêcheurs.

L’ange confia à ces femmes la mission de proclamer la résurrection. Elles devaient dire aux disciples et à Pierre que Jésus les attendait en Galilée. Remarquons que Pierre, le disciple qui avait renié le Maître, fait l’objet d’une mention spéciale. Le Seigneur ressuscité ne l’avait pas rejeté ; Il l’aimait toujours et aspirait à le revoir. Il fallait entreprendre une oeuvre particulière de rétablissement. La brebis égarée devait retrouver la communion avec le Berger. Le rétrograde devait retrouver le chemin de la maison du Père.

Jean 21 : 1-14
1 ¶ Après cela, Jésus se montra encore aux disciples, sur les bords de la mer de Tibériade. Et voici de quelle manière il se montra.
2 Simon Pierre, Thomas, appelé Didyme, Nathanaël, de Cana en Galilée, les fils de Zébédée, et deux autres disciples de Jésus, étaient ensemble.
3 Simon Pierre leur dit : Je vais pêcher. Ils lui dirent, Nous allons aussi avec toi. Ils sortirent et montèrent dans une barque, et cette nuit–là ils ne prirent rien.
4 Le matin étant venu, Jésus se trouva sur le rivage ; mais les disciples ne savaient pas que c’était Jésus.
5 Jésus leur dit : Enfants, n’avez–vous rien à manger ? Ils lui répondirent : Non.
6 Il leur dit : Jetez le filet du côté droit de la barque, et vous trouverez. Ils le jetèrent donc, et ils ne pouvaient plus le retirer, à cause de la grande quantité de poissons.
7 Alors le disciple que Jésus aimait dit à Pierre : C’est le Seigneur ! Et Simon Pierre, dès qu’il eut entendu que c’était le Seigneur, mit son vêtement et sa ceinture, car il était nu, et se jeta dans la mer.
8 Les autres disciples vinrent avec la barque, tirant le filet plein de poissons, car ils n’étaient éloignés de terre que d’environ deux cents coudées.
9 Lorsqu’ils furent descendus à terre, ils virent là des charbons allumés, du poisson dessus, et du pain.
10 Jésus leur dit : Apportez des poissons que vous venez de prendre.
11 Simon Pierre monta dans la barque, et tira à terre le filet plein de cent cinquante–trois grands poissons ; et quoiqu’il y en eût tant, le filet ne se rompit point.
12 Jésus leur dit : Venez, mangez. Et aucun des disciples n’osait lui demander : Qui es–tu ? Sachant que c’était le Seigneur.
13 Jésus s’approcha, prit le pain, et leur en donna ; il fit de même du poisson.
14 C’était déjà la troisième fois que Jésus se montrait à ses disciples depuis qu’il était ressuscité des morts.

* Christ apparaît à ses disciples. (#1-14)
#1-14 Christ se fait lui-même connaître à son peuple, en général dans ses ordonnances; mais quelquefois par son Esprit il visite ceux qui sont employés à son service. Il est bon pour les disciples de Christ d’être ensemble dans une conversation commune, et une affaire commune. Ici, l’heure de leur entrée en action n’est pas encore venue. Ils doivent s’entretenir entre eux, et n’être un fardeau pour personne. Le moment pour Christ de se faire connaître à son peuple est lorsque ce peuple est le plus conscient de sa perte. Il connaît les besoins temporels de son peuple, et a promis non seulement une grâce suffisante, mais aussi une nourriture convenable. La providence divine s’étend elle-même aux moindres choses, et ceux qui reconnaissent Dieu dans toutes leurs voies sont heureux. Ceux qui sont humbles, appliqués, et patients, seront couronnés même si leurs oeuvres sont entravées. Ils vivent quelquefois pour voir leurs affaires prendre un tour heureux, après beaucoup de luttes. Et rien n’est jamais perdu si l’on observe les ordres de Christ; il faut lancer le filet sur le côté droit du bateau. Jésus se manifeste lui-même à son peuple en faisant pour eux ce que personne ne peut faire autrement, et des choses que personne n’envisageait. Il veut prendre soin de ceux qui laissent tout pour lui, et il ne veut pas qu’ils manquent de la moindre bonne chose. Et ses dernières faveurs sont de ramener à l’esprit que les faveurs précédentes, telles que manger du pain, ne doivent pas être oubliées. Celui que Jésus aimait fut le premier à dire: C’est le Seigneur. Jean était resté plus proche de son Maître dans sa souffrance, et a été le premier à le reconnaître. Pierre était le plus zélé, et il a rejoint Christ le premier. Combien sont diverses pour Dieu ses manières de dispenser ses dons, et quelle différence il peut y avoir entre des croyants et d’autres dans leur manière d’honorer Christ, et cependant ils peuvent tous être acceptés de lui! D’autres continuent dans le bateau, ils traînent le filet, et apportent le poisson à la côte, et de telles personnes ne peuvent pas être blâmées comme étant matérialistes; là où elles sont, elles servent tout aussi réellement Christ que les autres. Le Seigneur Jésus avait des provisions prêtes aussi pour eux. Nous n’avons pas besoin de nous demander d’où tout ceci est venu; mais nous pouvons être réconfortés des soins de Christ pour ses disciples. Bien qu’il y ait tant de poissons, et si grands, ils n’en ont cependant perdu aucun, ni endommagé leur filet. Le filet de l’évangile a entouré des multitudes, cependant il est aussi solide que jamais pour apporter les âmes à Dieu.

Pierre 21 : 7
Emu d’une joie intime, il dit à Pierre, à voix basse: C’est le Seigneur!
Plusieurs interprètes voient dans l’emphase avec laquelle Jean est désigné (gr. ce disciple-là que Jésus aimait) une preuve que l’Appendice n’a pas été écrit par l’apôtre lui-même.
A peine a-t-il entendu la parole de son condisciple, que Pierre, qui avait déposé son vêtement de dessus pour se livrer à la pèche, se hâte de le remettre, de le ceindre, et se jette à la mer, afin d’atteindre à la nage le rivage et d’arriver le premier auprès de son Maître.
Comme le caractère des deux disciples est admirablement dépeint dans cette scène!
Tandis que Jean jouit intimement de la présence de Jésus, Pierre, plus ardent et plus prompt, s’élance au-devant de lui. Plus qu’aucun autre, il éprouvait un besoin profond d’entendre de sa bouche une parole de pardon, de réconciliation et d’amour. Et il ne fut pas déçu. {#Jn 21:15-17}

Jean 21 :15-19
.
15 ¶ Après qu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jonas, m’aimes–tu plus que ne m’aiment ceux–ci ? Il lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux.
16 Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes–tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
17 Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes–tu ? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes–tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis.
18 En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi–même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas.
19 Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis–moi.


Son discours avec Pierre. (#15-19)
#15-19 Notre Seigneur s’est adressé à Pierre par son nom d’origine, comme s’il avait perdu celui de Pierre à travers son reniement. Il lui répond maintenant: Tu sais que je t’aime; mais sans professer aimer Jésus plus que quiconque. Nous ne devons pas être surpris d’avoir notre sincérité mise en question, quand nous avons fait nous-mêmes ce qui peut la rendre douteuse. Chaque souvenir des péchés passés, même pardonnés, renouvelle la peine d’un vrai pénitent. Soucieux d’intégrité Pierre a solennellement fait appel à Christ, comme connaissant toutes choses, même les secrets de son coeur. Il est bien quand notre chute et nos erreurs nous rendent plus humbles et vigilants. La sincérité de notre amour pour Dieu doit être mise à l’épreuve; et il nous appartient de nous renseigner avec sérieux, par une prière au coeur rigoureux de Dieu, de nous examiner et de nous prouver si nous sommes capables de supporter cette épreuve. Personne ne peut être qualifié pour nourrir les brebis et les agneaux de Christ s’il n’aime pas le bon Berger plus que tout autre avantage ou objet terrestre. Cela doit être la grande inquiétude de tout homme bon, quelle que soit la mort qu’il subisse, de glorifier Dieu dans cette mort; car quel notre but principal, si ce n’est de mourir pour le Seigneur, à la parole du Seigneur?
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