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 L'OEUVRE DU SAINT-ESPRIT MARDI 20-02-07

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guidobarbarossa




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L'OEUVRE DU SAINT-ESPRIT  MARDI 20-02-07 Empty
MessageSujet: L'OEUVRE DU SAINT-ESPRIT MARDI 20-02-07   L'OEUVRE DU SAINT-ESPRIT  MARDI 20-02-07 EmptyMer 21 Fév 2007 - 15:35

MARDI 20 FÉVRIER 2007

L’ŒUVRE DU SAINT-ESPRIT

Jean 16 : 7-15

7 Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous ; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai.
8 Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement :
9 en ce qui concerne le péché, parce qu’ils ne croient pas en moi ;
10 la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus ;
11 le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé.
12 J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant.
13 Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui–même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir.
14 Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est à moi, et vous l’annoncera.
15 Tout ce que le Père a est à moi ; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prend de ce qui est à moi, et qu’il vous l’annoncera.


7-15 le départ de Christ était nécessaire pour la venue du Consolateur. Envoyer l’Esprit devait être le fruit de la mort de Christ, qui était son départ. Sa présence corporelle pouvait n’avoir lieu qu’en seulement un lieu à la fois, mais son Esprit est partout, en tous lieux, en tous temps, là où deux ou trois sont assemblés en son nom. Voyez ici la fonction de l’Esprit, qui est d’abord de réprouver, ou de convaincre. L’oeuvre de conviction est l’oeuvre de l’Esprit ; il peut faire cela avec efficacité, et lui seul peut le faire. C’est la méthode adoptée par le Saint-Esprit, d’abord convaincre, puis consoler. L’Esprit convaincra le monde de péché ; il ne se contentera pas de lui en parler. L’Esprit convainc du fait du péché ; de la faute du péché ; de la folie du péché ; de la saleté du péché, et que par lui nous sommes devenus odieux pour Dieu ; il convainc aussi de la source du péché qui est la nature corrompue ; et pour finir, du fruit de péché, dont la fin est la mort. Le Saint-Esprit prouve que tout le monde est coupable devant Dieu. Il convainc le monde de justice ; que Jésus de Nazareth était Christ le vertueux. Et aussi de la justice de Christ, qui nous est donnée pour notre justification et notre salut. Il montrera à chacun comment il peut être obtenu, et comment il est possible d’être accepté comme juste aux yeux de Dieu. L’ascension de Christ prouve que la rançon a été acceptée, et la justice accomplie, à travers laquelle les croyants devaient être justifiés. L’Esprit convainc de jugement parce que le prince de ce monde est jugé. Tout sera bien, quand son pouvoir sera brisé, lui qui fait tout le mal. Comme Satan est subjugué par Christ, ceci nous met en confiance, car aucune autre puissance ne peut tenir devant lui. L’Esprit nous convainc aussi du jour du jugement. La venue de l’Esprit doit être un ineffable avantage pour les disciples. Le Saint-Esprit est notre Guide, non seulement pour nous montrer le chemin, mais pour marcher avec nous par des aides continues et ses influences. Etre conduit dans une vérité est bien plus qu’une simple connaissance ; il ne s’agit pas seulement d’en avoir quelques notions dans nos têtes, mais d’en avoir le goût, la saveur, et la puissance dans nos coeurs. L’Esprit nous enseignera toute la vérité, et ne retiendra rien qui nous soit avantageux, car il nous montrera les choses à venir. Tous les dons et grâces de l’Esprit, toute la prédication, et toute l’écriture des apôtres, sous l’influence de l’Esprit, toutes les langues et les miracles, étaient pour glorifier Christ. Il incombe à chacun de se demander si le Saint-Esprit a commencé une bonne oeuvre dans son coeur. Sans une découverte claire de notre culpabilité et de son danger, nous ne pourrons jamais comprendre la valeur du salut de Christ ; mais quand nous serons amenés à nous connaître correctement, nous commencerons à découvrir la valeur du Rédempteur. Nous devrions avoir une vue plus complète du Rédempteur, et des affections plus vives pour lui, si nous prions d’avantage pour cela, et nous abandonnons au Saint-Esprit.

Jean 15 : 5

5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire.

5 Christ lui-même est le Cep ; les croyants sont les sarments. Il ne s’agit pas pour le sarment de vivre pour le Cep, mais simplement de laisser la vie du Cep couler à travers lui. Parfois nous prions : « Seigneur, aide-moi à vivre ma vie pour toi ». Il serait plus exact de dire : « Seigneur Jésus, vis ta vie à travers moi ». Sans Christ, nous ne pouvons rien faire. Un sarment a un grand but : porter du fruit. Il est inutile pour la fabrication de meubles ou la construction de maisons, et ne constitue même pas un bois de chauffage valable. En revanche, il est capable de porter du fruit, à condition de demeurer attaché au cep.

Galates 6 : 7

7 Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi.

7 Ne vous y trompez pas. Les hommes pensent souvent que l’on peut se moquer de Dieu. La loi immuable du royaume spirituel montre que c’est une interdiction. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. Cette loi n’est pas seulement valable pour le monde végétal, mais elle s’applique aussi à nos corps et nos esprits. L’habitude est seulement une illustration de cette loi. Le delirium tremens d’un côté, et la pureté d’un saint d’un certain âge de l’autre, sont le résultat de l’action de cette loi.

Romains 8 : 2

2 En effet, la loi de l’Esprit de vie en Jésus–Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort.

2 La loi nouvelle sous laquelle nous sommes placés est la loi de l’Esprit de vie en Christ-Jésus, et cette loi nous arrache à la loi du péché et de la mort. « Ce verset contient une image complète de la vie chrétienne comme Paul la comprend » (Barrett). Le péché est étranger à la vie humaine : il est une intrusion. En envoyant son Fils dans une chair semblable à celle du péché, Dieu a maîtrisé le péché. Paul ne veut pas dire ici que Jésus se soit incarné dans une chair pécheresse, comme si toute chair était corrompue en elle-même. Les évangélistes sont très clairs en ce qui concerne le processus de la naissance du Seigneur. L’enfant était saint en lui-même et avait été conçu par l’opération du Saint-Esprit (cf. #Lu 1:35). La « chair » de notre Sauveur était la vraie humanité, non déchue, telle que Dieu l’avait initialement voulue. Le corps du Seigneur était seulement « semblable à la chair pécheresse » (Moffat) ; il n’était pas la chair pécheresse elle-même, que nous avons héritée d’Adam. Ce qu’indique Paul ici, c’est que le Père envoya son Fils pour ôter le péché, en le plaçant dans les circonstances et dans la sphère mêmes d’où est surgie notre race en Adam. Cet « engagement » avec le péché impliquait tout ce que fut Jésus, tout ce qu’il a dit et fait pour condamner le péché dans sa propre chair sur la Croix (#Esa 53:10 ; #Ro 3:25 ; #2Co 5:21). La chair était le domaine du péché ; mais dans le cas des croyants, Dieu l’a déboutée de cette sphère d’influence, la mort du Fils annulant complètement et définitivement le pouvoir du péché sur les saints. L’homme en Christ est pour toujours libre de la loi du péché et de la mort.

Romains 8 : 14

14 Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu.

14 Une autre manière de décrire les vrais croyants est de dire qu’ils sont conduits par l’Esprit de Dieu. Paul ne fait pas allusion ici à des cas spectaculaires de direction divine expérimentés par des chrétiens éminents. Au contraire, il affirme ce qui est vrai de tous les fils de Dieu qui sont conduits par l’Esprit de Dieu. Cela ne dépend pas du degré de leur consécration au Saint-Esprit, mais de la relation nouvelle établie dès leur conversion.
Devenir fils de Dieu implique être reçu dans la famille de Dieu et se voir conférer tous les privilèges et responsabilités attribués aux fils adultes. Un nouveau converti n’a pas à attendre un certain temps avant de prendre possession de son héritage spirituel ; il appartient à tous les croyants, hommes et femmes, garçons et filles, dès l’instant de leur conversion.


Romains 8 : 16-17

16 L’Esprit lui–même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
17 Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui.


16 Grâce à un instinct spirituel le nouveau converti sait qu’il est un fils de Dieu. Le Saint-Esprit l’en assure. L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes membres de la famille de Dieu. Il agit en tout premier lieu au moyen de la Parole de Dieu. Quand le chrétien lit la Bible, l’Esprit confirme la vérité selon laquelle il est maintenant enfant de Dieu en raison de sa confiance en son Sauveur.
17 Etre membre de la famille de Dieu confère des privilèges stupéfiants. Tous les enfants de Dieu sont héritiers de Dieu. Tout héritier finit, bien sûr, par hériter des biens de son père. C’est précisément le sens de ce passage. Tout ce qui appartient au Père est à nous. Nous ne possédons ni ne jouissons encore de tout, mais rien ne pourra nous en empêcher à l’avenir. Et nous sommes cohéritiers avec Christ. Quand Il reviendra prendre le sceptre du gouvernement universel, nous partagerons avec lui les titres de propriété de toutes les richesses du Père.
Quand Paul ajoute, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui, il ne veut pas dire que des souffrances héroïques constituent une condition pour le salut. Il ne fait pas non plus allusion à une élite de chrétiens victorieux qui ont enduré de grandes épreuves. Plutôt, il voit tous les chrétiens comme souffrant avec Christ et tous les chrétiens comme glorifiés avec Christ. Le mot si signifie ici « puisque ». Certes, certains souffrent plus que d’autres pour la cause de Christ, et seront par conséquent récompensés par des degrés différents de gloire. Néanmoins, tous ceux qui reconnaissent Jésus comme Seigneur et Sauveur sont considérés ici comme s’attirant l’hostilité du monde et comme subissant l’opposition et l’ignominie.


Romains 8 : 26-27

26 De même aussi l’Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu’il convient de demander dans nos prières. Mais l’Esprit lui–même intercède par des soupirs inexprimables ;
27 et celui qui sonde les coeurs connaît la pensée de l’Esprit, parce que c’est selon Dieu qu’il intercède en faveur des saints.


26 Tout comme nous sommes encouragés par cette espérance glorieuse, le Saint-Esprit nous soutient dans notre faiblesse. La perplexité nous envahit souvent lorsque nous nous donnons à la prière. Nous ne savons pas comment nous devons prier. Nos prières sont égoïstes, empreintes d’ignorance et d’étroitesse. Mais une fois encore, l’Esprit vient pour nous aider dans notre faiblesse, et intercède pour nous par des soupirs inexprimables. Dans ce verset, c’est l’Esprit qui soupire, pas nous, même si cela nous arrive aussi.
Nous voici face à un mystère. Nous scrutons le domaine spirituel et invisible où le Tout-Puissant et des puissances angéliques sont à l’oeuvre en notre faveur. Et même si nous ne comprenons pas tout, nous pouvons retirer un formidable encouragement du fait qu’un soupir peut parfois constituer la plus spirituelle des prières.
27 Si Dieu sonde les coeurs des hommes, Il peut aussi connaître la pensée de l’Esprit, même lorsqu’Il s’exprime seulement par des soupirs. Mais-et c’est le plus important-les prières du Saint-Esprit pour nous sont toujours selon la volonté de Dieu et par suite se révèlent toujours pour notre bien. Ce fait explique bien des choses, comme le révèle le verset suivant.

26,27 Bien que les infirmités des chrétiens soient très nombreuses et grandes, telles qu’elles ne pourraient être maîtrisées si elles leur étaient abandonnées, cependant le Saint-Esprit les soutient. L’Esprit, étant celui qui éclaire, nous enseigne pour quoi nous devons prier ; comme Esprit qui sanctifie il nous aide dans nos actions de grâce ; comme Esprit qui réconforte, il fait taire nos craintes, et nous aide dans tous nos découragements. Le Saint-Esprit est la source de tous les désirs envers Dieu, qui sont souvent plus que de simples mots ne peuvent le dire. L’Esprit qui recherche les coeurs, peut percevoir la pensée et la volonté, l’esprit renouvelé, et être l’avocat de sa cause. L’Esprit fait l’intercession envers Dieu, et l’ennemi ne peut pas prédominer.
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