Psaumes 37:4
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 Mardi 28 Avril 2009 Les relations personnelles: ( suite ).

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AuteurMessage
guidobarbarossa




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Mardi 28 Avril 2009 Les relations personnelles: ( suite ). Empty
MessageSujet: Mardi 28 Avril 2009 Les relations personnelles: ( suite ).   Mardi 28 Avril 2009 Les relations personnelles: ( suite ). EmptyMer 29 Avr 2009 - 14:31

Exode 20 : 1-17

1 Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant:
2 Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de servitude.
3 Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.
4 Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
5 Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
6 et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.
7 Tu ne prendras point le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain; car l’Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.
8 Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier.
9 Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage.
10 Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes.
11 Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour: c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié.
12 Honore ton père et ta mère, afin que tes jours se prolongent dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne.
13 Tu ne tueras point.
14 Tu ne commettras point d’adultère.
15 Tu ne déroberas point.
16 Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.
17 Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.


* Le préambule des dix commandements. (1-2).

1-2 Dieu parle aux hommes de plusieurs manières: Par leur propre conscience, par la Providence, par Sa voix; nous devons être soigneusement attentifs à tous ces messages. Mais Dieu ne s’est jamais exprimé comme Il l’a fait, lors de Sa déclaration des dix commandements. Au tout début, la Loi a été inculquée à l’homme; cette loi aurait dû rester inscrite dans son cœur, mais le péché l’a corrompue et de ce fait, il fallait en redéfinir la connaissance. La loi est spirituelle, elle connaît les pensées secrètes du cœur, ses désirs, et ses dispositions. Le commandement qu’elle souligne le premier, est l’amour; sans lui, toute vie spirituelle n’est qu’hypocrisie; ce commandement doit être parfaitement observé, avec une obéissance constante; aucune loi au monde ne tolère la désobéissance. Celui qui voudra observer toute la loi mais qui pèchera contre un seul commandement, sera coupable envers tous les autres, Jacques 2: 10. Le fait de la modifier, soit dans notre cœur, dans nos pensées, dans nos propos ou dans nos actes, n’est que péché et la mort est le salaire du péché.
Les commandements écrits sur les premières tables. (3-11).

3-11 Les quatre premiers des dix commandements, communément appelés "le décalogue," nous décrivent notre devoir envers Dieu. Ces quatre commandements sont cités en premier car l’homme doit aimer son Créateur avant son prochain. Il ne sera pas possible d’aimer son prochain sincèrement si les sentiments que l’on éprouve pour Dieu ne sont qu’hypocrisie. Le premier commandement mentionne qui doit être l’objet de notre adoration: Dieu et Lui seulement. Cela signifie qu’il est interdit d’adorer les créatures. Quel que soit le fait qui puisse entraver notre amour, notre gratitude, notre révérence ou notre adoration envers Dieu, nous ne devons pas céder à un sentiment de déception qui ne peut conduire qu’à une transgression de ce commandement. Tout ce que nous faisons doit être fait à la gloire de Dieu. Le second commandement se rapporte à l’adoration que nous devons ressentir envers le Seigneur, notre Dieu. Il est interdit de fabriquer une image ou une représentation quelconque de la Déité, sous quelque forme ou intention que ce soit. Mais la signification spirituelle de ce commandement est plus étendue: Tous les types de superstition sont défendus, ainsi que toutes les "inventions" humaines qui déforment la véritable adoration de Dieu. Le troisième commandement concerne la façon d’adorer: Elle doit être faite avec toute la révérence et le sérieux possibles. Tout serment inconsidéré est prohibé. Toutes les injures au nom de l’Éternel et tous les jurons ne sont que d’affreuses offenses à Ses commandements. Cela ne concerne pas uniquement les injures contre la Parole de Dieu ou les choses saintes, mais aussi toutes celles qui sont vaines, malsaines ou relatives aux plaisirs douteux. Le Seigneur ne laissera pas impuni celui qui invoquera Son Nom en vain. Le quatrième commandement est particulier: C’est un "rappel," c’est-à-dire que ce n’était pas la première fois qu’il était ordonné, mais que les hommes le connaissaient déjà. Un jour sur sept doit être sanctifié. Six jours sont consacrés au travail, mais il ne faut pas négliger ensuite le service de Dieu et le soin à apporter à notre âme. Aujourd’hui, nous devons accomplir tout notre travail dans le temps imparti, sans en prévoir pour le sabbat, le jour du repos. Christ a permis d’accomplir en ce jour particulier les travaux de nécessité, de charité et de piété; car le sabbat a été fait pour l’homme et non l’inverse, Marc 2: 27; tout ce qui concerne le luxe, la vanité ou l’autosatisfaction est à éviter. Tout acte commercial, tout paiement de transaction, toute lettre d’affaires, toute étude industrielle, déplacement, voyage mondain ou conversations légères, ne font que gâter la sainteté de ce jour, que Dieu a mis à part. La paresse et l’indolence font partie des attitudes "du monde," mais ne concernent pas le saint repos. Le sabbat doit être un jour où l’on se repose du travail journalier, pour se consacrer au service de Dieu. Les avantages du respect de ce jour sanctifié, sont la bonne santé et la joie des hommes, ce temps mis à part étant consacré au soin de l’âme et au rappel de l’excellence de la Parole de Dieu. Ce jour est béni; les hommes qui le respectent sont bénis, en lui et par lui. Cette bénédiction et ce respect de la sainteté ne sont pas consacrés à un septième jour ordinaire, mais au jour du sabbat.

Leur rédaction sur les deuxièmes tables. (12-17)

12-17 Les commandements de la deuxième table, les six derniers des dix commandements, décrivent quel doit être notre devoir, pour nous même et vis-à-vis des autres; ils mentionnent le fameux commandement: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même," Luc 10:27. La piété et l’honnêteté doivent aller de pair. Le cinquième commandement concerne les devoirs que nous avons vis-à-vis de nos parents. Le fait d’honorer père mère, doit démontrer par notre conduite, notre estime et notre obéissance à leur égard; quand vos parents vous appellent, répondez leur; quand ils vous envoient accomplir une tâche, faites ce qu’ils vous demandent, abstenez-vous de ce qu’ils vous interdisent; faites tout cela en tant qu’enfant, dans la joie et dans l’amour. Soyez également soumis à leurs conseils et à leurs recommandations. Efforcez-vous de réconforter en tous points vos parents, donnez-leur une vieillesse paisible; soutenez-les quand ils sont dans le besoin, ce que le Seigneur recommande particulièrement, Matthieu 15: 4-6. Beaucoup de personnes ont remarqué que l’on était particulièrement béni en obéissant à ses parents, et que la malédiction accompagnait les enfants indisciplinés. Le sixième commandement indique que l’on doit se préoccuper de la vie et du bien-être des autres comme nous le faisons pour nous-même. Les magistrats et les fonctionnaires sont institués pour faire valoir la vérité: Ne cherchez pas à les contrecarrer. L’autodéfense est légitime; mais beaucoup de meurtriers innocentés par la loi des hommes, ne le sont pas devant Dieu. Les passions démesurées, provoquées par la colère ou l’alcool, n’ont aucune excuse: Elles conduisent au meurtre et lors des duels, elles ne font que révéler l’arrogance des hommes et leur esprit de vengeance. Tous les combats, même ceux accomplis par les mercenaires, ne sont que le résultat de la colère et de la malice: Ils rompent le sixième commandement; tous les carnages sont en fait des meurtres. Il en est ainsi pour tout ce qui pousse les hommes au vice et au crime. La mauvaise conduite corrompt le cœur, elle pousse rapidement les parents vers le trépas, comme d’ailleurs les épouses et autres membres d’une famille: Toutes ces choses rompent ce sixième commandement. Ce dernier interdit les mauvaises envies, la haine ou la colère, toute insulte. Il condamne le suicide. Il réclame un esprit bienveillant et patient, qui sait aussi pardonner. Le septième commandement concerne la chasteté. Nous devrions être effrayés par toutes les "vilenies" qui s’attaquent au corps humain: Elles ne font que le détruire. Quels que puissent être les errements de notre imagination polluée, animée par nos passions, ils ne font que rompre ce commandement: Il en est ainsi pour toutes les images impures, les livres, les conversations douteuses et toute autre forme de déviations. Le huitième commandement est celui de l’amour, celui du respect de la propriété des autres. Ce que nous possédons ici-bas, même acquis dans l’honnêteté, représente le "pain" que Dieu nous a donné; nous devrions nous en contenter et être reconnaissants: Sachons ainsi faire preuve de confiance en la Providence divine. Quand nous détournons notre regard de nos voisins, lorsqu’ils sont dans la nécessité, nous enfreignons la loi divine; c’est un fait courant dans notre société d’aujourd’hui. Les "pillages" en tous genres, même ceux qui sont effectués sous le couvert de la justice humaine, vont également contre ce commandement. La fraude, les emprunts effectués sans perspective de remboursement, les non-paiements de dettes, l’extravagance, les abus, les extorsions d’argent aux pauvres, toutes ces choses s’opposent au huitième commandement. Offrons notre savoir-faire, dans un esprit de simplicité et dans le contentement, au service des autres, comme nous voudrions qu’ils le fassent à notre égard. Le neuvième commandement est relatif à notre attitude vis-à-vis de nos voisins. Ce commandement interdit toute médisance, sous quelque forme que ce soit, toute parole équivoque qui pourrait "salir" notre prochain. Dénigrer notre voisin ne peut que nuire à sa réputation. Porter un faux témoignage contre lui, le calomnier, ou l’attaquer par notre médisance, tous ces actes rompent le neuvième commandement; il en est de même pour celui qui déforme la vérité, qui s’efforce de salir la réputation de son prochain, ne cherchant que sa ruine. Combien de fois ce commandement est bafoué chaque jour, par des personnes de tout rang, de toute nature! Le dixième commandement s’attaque à la racine du mal: "Tu ne convoiteras pas". Les commandements précédents prohibaient tous les mauvais désirs envers notre prochain; celui-ci interdit toute convoitise malsaine.
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