Mardi 23 Juin 2009
L’homme spirituel dans le royaume de Dieu.
Matthieu 6 : 33
33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.
33 Dieu établit donc une alliance avec ses disciples. Il leur dit en substance: « Si vous prenez d’abord en compte les intérêts de Dieu, je m’engage à subvenir à vos besoins futurs. Si vous cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu, alors je veillerai à ce que vous ne manquiez jamais du nécessaire. »
Matthieu 9 : 35
35 Jésus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité.
35 Jésus parcourait toutes les villes. Il commençait à élargir l’étendue de son ministère.
Il enseignait, prêchait, guérissait : ce sont les trois aspects du ministère de Jésus.
35-38 Jésus n’à pas visité seulement les grandes et riches villes, mais aussi les villages pauvres, obscurs; et là où il a prêché, là il a guéri. Les âmes des moindres personnes dans le monde sont aussi précieuses à Christ, et doivent donc l’être pour nous, que les âmes de ceux qui sont de grands personnages. Il y avait des sacrificateurs, des Lévites, et des scribes, sur tout le territoire, mais ils étaient des pasteurs de néant, Zacharie 11: 17; c’est pourquoi Christ avait compassion du peuple qui était comme des brebis éparpillées, comme des hommes périssant par manque de connaissance. A ce jour encore de vastes multitudes sont comme des brebis n’ayant pas de berger, et nous devons avoir de la compassion, et faire tout ce que nous pouvons pour les aider. Les multitudes qui ont besoin d’instruction spirituelle forment une moisson abondante, et ont donc besoin de beaucoup d’ouvriers actifs; mais peu se sont levés pour ce travail. Christ est le Seigneur de la moisson. Prions pour que beaucoup puissent se lever et être envoyés pour travailler à apporter des âmes à Christ. C’est un signe que Dieu est sur le point de donner quelque miséricorde spéciale sur un peuple, quand il le presse de prier pour cela. Et les missions confiées aux moissonneurs en réponse à la prière ont plus de chance d’avoir du succès.
1 Corinthiens 4 : 20
20 Car le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance.
20 Car le royaume de Dieu. Dans ce royaume, ce ne sont pas les paroles, ou la situation qui dominent, mais c’est la pensée de Dieu qui est dans le coeur.
Après tout, ce qui compte, c’est la puissance, car le royaume de Dieu ne se résume pas en paroles seulement, mais aussi en actions. Il ne se contente pas d’une profession de foi, mais exige la réalité de celle-ci.
Romains 14 : 17
17 Car le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit.
17 Ce qui importe réellement dans le royaume de Dieu n’est pas notre régime alimentaire mais les réalités spirituelles. Le royaume de Dieu est le domaine où Dieu est reconnu comme le Chef Suprême. Au sens le plus large, il inclut tous ceux qui professent obéir à Dieu, mais en réalité il inclut seulement ceux qui sont nés de nouveau, et c’est ce qu’il signifie ici.
Les sujets de ce royaume ne sont pas sensés être attachés à un régime alimentaire particulier, ni à être connus comme gourmets ou fins connaisseurs des vins. Ils doivent se caractériser par une vie où règne la justice, avec une disposition en vue de la paix, de l’harmonie et par un esprit de joie, par le Saint-Esprit.
Luc 17 : 20-21
20 Les pharisiens demandèrent à Jésus quand viendrait le royaume de Dieu. Il leur répondit: Le royaume de Dieu ne vient pas de manière à frapper les regards.
21 On ne dira point: Il est ici, ou: Il est là. Car voici, le royaume de Dieu est au milieu de vous.
20 Quand viendrait le royaume de Dieu. Ces pharisiens espéraient un royaume visible, temporel. Il ne vient pas de manière à frapper les regards. Il n’est pas comme une monarchie terrestre, visible, comme celle de David.
21 Il est au milieu de vous. Un royaume qui a son trône dans le coeur, Christ, le Roi, étant assis sur ce trône. Il se forme lorsque nous donnons nos coeurs à Christ, et qu’ils lui sont dociles.
Esaïe 61 : 1-2
1 L’esprit du Seigneur, l’Eternel, est sur moi, Car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance;
2 Pour publier une année de grâce de l’Eternel, Et un jour de vengeance de notre Dieu; Pour consoler tous les affligés;
1-3 Les prophètes avaient l'Esprit Saint de Dieu par moments, en les faisant dire; mais Christ avait l'Esprit toujours, sans mesure, pour l'autoriser, comme l'homme, pour le travail auquel il a été nommé. Les pauvres sont bien disposés communément pour recevoir l'Évangile, Jacques 2: 5; et il nous profitera seulement probablement quand reçu avec la docilité. À tels qui sont pauvres dans l'esprit, Christ a prêché de bonnes nouvelles quand il a dit, Béni sont l'humble. La satisfaction de Christ est acceptée. Par la domination du péché dans nous, nous sommes attachés sous le pouvoir de Satan; mais le Fils est prêt, par son Esprit, à nous rendre libres; et ensuite nous serons libres effectivement. Le péché et Satan devaient être détruits; et Christ a triomphé d'eux sur sa croix. Mais les enfants d'hommes, qui ressortent contre ces offres, doivent être traités comme les ennemis. Christ devait être un Consolateur et donc il est; on lui envoie pour calmer tous qui portent le deuil et qui lui recherchent et pas au monde, pour le confort. Il fera tout cela pour ses gens, qu'ils peuvent abonder dans les fruits de droiture, comme les branches de Dieu plantant. Ni la clémence de Dieu, la réparation de Christ, ni l'Évangile de grâce, ne profite à l'autosuffisant et fier. Ils doivent être humiliés et menés savoir leur propre caractère et veulent, par l'Esprit Saint, qu'ils peuvent voir et sentir leur besoin de l'Ami du pécheur et du Sauveur. Sa doctrine contient des nouvelles contentes effectivement à ceux qui sont humiliés avant Dieu.
Traduit de l’anglais vers le français.
Acte 1 : 1-3
1 Théophile, j’ai parlé, dans mon premier livre, de tout ce que Jésus a commencé de faire et d’enseigner dès le commencement
2 jusqu’au jour où il fut enlevé au ciel, après avoir donné ses ordres, par le Saint-Esprit, aux apôtres qu’il avait choisis.
3 Après qu’il eut souffert, il leur apparut vivant, et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours, et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu.
1-2 Théophile devait se rappeler que le premier livre de Luc se terminait par le récit de l’ascension du Seigneur, décrite ici comme le fait d’être enlevé au ciel. Il se rappellerait aussi les dernières recommandations pleines de tendresse que le Seigneur avait données aux 11 apôtres avant son départ.
3 Après qu’il eut souffert. La passion, sur la croix. Il leur apparut vivant. C’est un Sauveur vivant. Autrement il ne pourrait pas plus nous sauver qu’un Socrate, qu’un Boudha, ou qu’un autre sage. Se montrant à eux pendant quarante jours. A différents moments pendant ces quarante jours. Onze apparitions sont révélées, mais il y en a probablement eu d’autres. Qui concernent le royaume de Dieu. Son église, qui devait être établie sur la terre.
Matthieu 28 : 18-19
18 Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi: Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre.
19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit,
18 Le Seigneur déclare ensuite que toute autorité lui a été donnée dans les cieux et sur la terre. Dans un certain sens, Il a toujours eu pleine autorité. Mais là, Il parle en tant que Chef de la nouvelle création. Depuis sa mort et sa résurrection, Il a le pouvoir d’accorder la vie éternelle à tous ceux que Dieu lui a donnés (Jean 17 : 2). Comme Premier-né de toute la création, Il a toujours détenu l’autorité. Mais maintenant qu’Il a achevé l’oeuvre de la rédemption, Il a autorité en tant que Premier-né d’entre les morts, « afin d’être en tout le premier » (Col 1 : 15 ; 18).
16-20 Cet évangéliste ne parle pas des autres apparitions de Christ, qui sont rapportées par Luc et Jean, et se hâte vers la plus solennelle. Tous ceux qui voient le Seigneur Jésus avec l’œil de la foi, l’adoreront. Cependant la foi de celui qui est sincère peut être très faible et vacillante. Mais Christ leur a donné des preuves si convaincantes de sa résurrection, que leur foi a triomphé sur les doutes. Il envoie maintenant d’une façon solennelle les apôtres et ses ministres parmi toutes les nations. Le salut qu’ils devaient prêcher, est un salut commun; quiconque le désire, qu’il vienne, et en saisisse le bienfait; tous sont bienvenus à Christ Jésus. Le christianisme est la religion d’un pécheur qui s’applique au salut en s’écartant de la colère méritée et du péché; il s’applique à la miséricorde du Père, à travers l’expiation du Fils incarné, et par la sanctification du Saint-Esprit, et s’abandonne lui-même à être l’adorateur et le serviteur de Dieu, comme le Père, Fils, et Saint-Esprit, trois Personnes mais un Dieu, dans toutes ses ordonnances et ses commandements. Le baptême est un signe extérieur de cette purification intérieure, ou une sanctification de l’Esprit, qui scelle et met en évidence la justification du croyant. Examinons-nous nous-mêmes, pour savoir si nous possédons vraiment la grâce intime et spirituelle d’une mort au péché, et une nouvelle naissance à la justice, par lesquelles ceux qui étaient les enfants de colère deviennent les enfants de Dieu. Les croyants auront toujours la présence constante de leur Seigneur; tous les jours, chaque jour. Il n’y a pas de jour, pas d’heure du jour, dans lesquels notre Seigneur Jésus n’est pas présent avec ses églises et avec ses ministres. Le Dieu d’Israël, le Sauveur, est quelquefois un Dieu qui se cache lui-même, mais jamais un Dieu lointain. Alors, Seigneur Jésus, sois avec nous et tout ton peuple; fais que ta face brille sur nous, que ton chemin puisse être connu sur la terre, que ton salut puisse être apporté aux nations.
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