Psaumes 37:4
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 MARDI 17 NOVEMBRE 2009 L ESPRIT ET LE CORPS.

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guidobarbarossa




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MARDI  17 NOVEMBRE  2009   L ESPRIT ET LE CORPS. Empty
MessageSujet: MARDI 17 NOVEMBRE 2009 L ESPRIT ET LE CORPS.   MARDI  17 NOVEMBRE  2009   L ESPRIT ET LE CORPS. EmptyMer 18 Nov 2009 - 15:45

Mardi 17 Novembre 2009

L’esprit et le corps.

Marc 7 : 1-23

1 Les pharisiens et quelques scribes, venus de Jérusalem, s’assemblèrent auprès de Jésus.
2 Ils virent quelques-uns de ses disciples prendre leurs repas avec des mains impures, c’est-à-dire, non lavées.
3 Or, les pharisiens et tous les Juifs ne mangent pas sans s’être lavé soigneusement les mains, conformément à la tradition des anciens;
4 et, quand ils reviennent de la place publique, ils ne mangent qu’après s’être purifiés. Ils ont encore beaucoup d’autres observances traditionnelles, comme le lavage des coupes, des cruches et des vases d’airain.
5 Et les pharisiens et les scribes lui demandèrent: Pourquoi tes disciples ne suivent-ils pas la tradition des anciens, mais prennent-ils leurs repas avec des mains impures?
6 Jésus leur répondit: Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit: Ce peuple m ‘honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi.
7 C’est en vain qu’ils m’honorent, En donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
8 Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes.
9 Il leur dit encore: Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition.
10 Car Moïse a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort.
11 Mais vous, vous dites: Si un homme dit à son père ou à sa mère: Ce dont j’aurais pu t’assister est corban, c’est-à-dire, une offrande à Dieu,
12 vous ne le laissez plus rien faire pour son père ou pour sa mère,
13 annulant ainsi la parole de Dieu par votre tradition, que vous avez établie. Et vous faites beaucoup d’autres choses semblables.
14 Ensuite, ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit: Ecoutez-moi tous, et comprenez.
15 Il n’est hors de l’homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller; mais ce qui sort de l’homme, c’est ce qui le souille.
16 Si quelqu’un a des oreilles pour entendre, qu’il entende.
17 Lorsqu’il fut entré dans la maison, loin de la foule, ses disciples l’interrogèrent sur cette parabole.
18 Il leur dit: Vous aussi, êtes-vous donc sans intelligence? Ne comprenez-vous pas que rien de ce qui du dehors entre dans l’homme ne peut le souiller?
19 Car cela n’entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s’en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments.
20 Il dit encore: Ce qui sort de l’homme, c’est ce qui souille l’homme.
21 Car c’est du dedans, c’est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,
22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l’orgueil, la folie.
23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l’homme.


La tradition et la Parole de Dieu (7 : 1-23)

1 Les pharisiens et les scribes étaient des chefs religieux juifs qui avaient conçu un vaste système de traditions rigides tellement enchevêtrées avec la loi de Dieu qu’elles avaient fini par revêtir presque la même autorité que les Ecritures. Dans certains cas, la tradition affaiblissait ou même contredisait la loi de Dieu. Les chefs religieux se plaisaient à imposer au peuple leurs règles, et le peuple s’y pliait docilement, se contentant de pratiquer des rites qui n’exigeaient pas un changement réel du comportement.
2-4 Dans cet épisode, les pharisiens et les scribes s’en prirent à Jésus parce que ses disciples prenaient leurs repas sans se laver les mains. Cela signifie non que les disciples ne se lavaient pas les mains avant de manger, mais qu’ils ne respectaient pas le cérémoniel imposé par la tradition. Celle-ci déclarait, par exemple, que si on ne se lavait pas les mains jusqu’au coude, on était rituellement impur ; ou qu’après avoir fait son marché, il fallait prendre un bain. Ce système complexe d’ordonnances s’appliquait aussi au lavage des récipients et des plats.

Voici ce qu’écrit E. Stanley Jones à propos des pharisiens:
Ils avaient parcouru une longue distance depuis Jérusalem pour rencontrer le Seigneur ; mais leur attitude était si négative et ils étaient tellement portés à trouver Jésus en défaut, que tout ce qu’ils trouvèrent, ce furent des mains non lavées. Ils ne virent pas qu’ils étaient en présence du plus grand mouvement de salut qui n’ait jamais touché notre planète, un mouvement qui purifiait l’esprit, l’âme et le corps des humains. Leurs yeux grands ouverts voyaient bien l’accessoire et l’insignifiant, mais ils étaient incapables de contempler l’essentiel. L’Histoire a donc fini par les oublier, ou tout au moins à utiliser leur attitude négative comme une toile de fond destinée à mieux faire ressortir l’attitude positive de Christ. Ils ont laissé derrière eux un esprit de critique négative, tandis que Lui a laissé la conversion ; ils recherchaient des défauts, Lui recherchait des disciples.
5-8 Jésus mis en évidence l’hypocrisie d’un tel comportement. Les Juifs agissaient comme Esaïe l’avait annoncé: ils affichaient une grande dévotion extérieure au Seigneur, mais intérieurement, ils étaient corrompus. En respectant leurs rites compliqués, ils prétendaient adorer Dieu, mais ils avaient remplacé les doctrines de la Bible par leurs propres traditions. Au lieu de reconnaître la Parole de Dieu comme unique autorité en matière de foi et de conduite, par leur tradition, ils annulaient ou vidaient de leur sens les commandements limpides de l’Ecriture.
9-10 Jésus donne un seul exemple pour montrer comment leur tradition a anéanti le commandement de Dieu. L’un des Dix Commandements exigeait que les enfants honorent leurs parents (ce qui comprenait le devoir de prendre soin d’eux en cas de besoin). La peine de mort était prononcée sur quiconque maudissait son père ou sa mère.
11-13 Mais les Juifs avaient inventé une tradition connue sur le thème du corban, ce qui signifie « donné » ou « consacré ». Supposons que certains parents juifs se soient trouvés dans le besoin, et que leur fils, bien qu’ayant les moyens de les assister, n’ait pas voulu le faire. Il lui suffisait de prononcer le mot « Corban », par lequel il consacrait son argent à Dieu ou au temple. Cela le dégageait de toute responsabilité à l’égard de ses parents. Il pouvait ainsi conserver son argent indéfiniment ou même l’utiliser pour ses affaires personnelles. Que cet argent soit effectivement donné au temple n’avait que peu d’importance.


Kelly fait remarquer:
Les chefs avaient imaginé ces dispositions pour obtenir des propriétés à des fins religieuses et pour empêcher que la conscience des gens ne soit troublée par la Parole de Dieu. C’est Dieu qui avait imposé à l’homme d’honorer ses parents, et qui dénonçait tout manque d’égards envers eux. Et voici des hommes qui, sous couvert de religion, violaient ces deux commandements de Dieu ! Le Seigneur considère la tradition du Corban non seulement comme un tort causé à ses parents, mais aussi comme un acte caractérisé de rébellion contre les commandements de Dieu.
14-15 Ayant répondu à la question des Pharisiens sur la tradition opposée au commandement, Jésus se tourne maintenant vers la foule pour traiter du problème de la souillure. Il le fait au moyen d’une comparaison révolutionnaire dans ses implications religieuses et appelée à libérer la chrétienté des liens du légalisme. D’une part, rien d’extérieur ne peut souiller l’homme ; d’autre part, la source réelle de toute impureté réside à l’intérieur, ce n’est pas l’affaire des mains, mais du cœur.
17-19 Les disciples eux-mêmes restèrent perplexes face à cette affirmation. Elevés à l’ombre des enseignements de l’A.T., ils avaient toujours considéré certains aliments, tels que le porc, le lapin ou les crustacés comme impurs et susceptibles de les souiller rituellement. D’une manière on ne peut plus claire, Jésus leur déclare qu’un homme n’était pas souillé par ce qui entrait en lui. D’une certaine manière, ces mots sonnaient le glas de la dispensation de la loi.
20-23 C’est ce qui sort du coeur de l’homme qui le souille : ... les mauvaises pensées, les adultères, les débauches, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l’orgueil, la folie. Dans l’esprit du contexte, il faudrait aussi ajouter les traditions humaines à cette liste. En effet, la tradition du corban encourageait l’homicide déguisé. Les parents risquaient de mourir d’inanition avant que les vœux de leur fils ne soient rompus.
L’une des grandes leçons de ce passage est celle-ci : nous devons en permanence éprouver à la lumière de la Parole de Dieu toute doctrine et toute tradition, obéir à ce qui est conforme aux Ecritures et rejeter ce qui vient de l’homme. Un homme peut d’abord enseigner et prêcher un message clair et biblique, et gagner ainsi la confiance de ses auditeurs chrétiens. Ceci fait, il commence à ajouter quelques doctrines humaines. Ses disciples trop crédules, estimant qu’il ne peut rien faire de mal, commencent à le suivre aveuglément, même si son message émousse la Parole ou en trouble le sens limpide.
C’est ainsi que les scribes et les pharisiens avaient conquis leur autorité de docteurs de la Parole de Dieu. Mais maintenant, ils anéantissaient le dessein des Ecritures. Le Seigneur Jésus mit donc ses auditeurs en garde: c’est la Parole qui confère autorité aux hommes, et non les hommes qui accréditent la Parole. La pierre de touche devrait toujours être: « Que dit l’Ecriture ? ».


Psaumes 27 : 1-6

1 De David. L’Eternel est ma lumière et mon salut: De qui aurais-je crainte? L’Eternel est le soutien de ma vie: De qui aurais-je peur?
2 Quand des méchants s’avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.
3 Si une armée se campait contre moi, Mon coeur n’aurait aucune crainte; Si une guerre s’élevait contre moi, Je serais malgré cela plein de confiance.
4 Je demande à l’Eternel une chose, que je désire ardemment: Je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Eternel, Pour contempler la magnificence de l’Eternel Et pour admirer son temple.
5 Car il me protégera dans son tabernacle au jour du malheur, Il me cachera sous l’abri de sa tente; Il m’élèvera sur un rocher.
6 Et déjà ma tête s’élève sur mes ennemis qui m’entourent; J’offrirai des sacrifices dans sa tente, au son de la trompette; Je chanterai, je célébrerai l’Eternel.


* La foi du psalmiste. 1-6

1-6 Le Seigneur, qui est la lumière du croyant, est la force de sa vie; le chrétien vit non seulement par cette force, mais il se dirige par elle. Oh Dieu, fortifie-nous. La présence de Dieu, pleine de grâce, sa puissance, sa promesse, sa disponibilité à écouter la prière, le témoignage de Son Esprit dans les coeurs, tel est le secret de son tabernacle dans lequel les saints trouvent toute leur sécurité spirituelle, la paix de l’âme dans laquelle ils demeurent à l’aise. Le psalmiste prie en faveur d’une communion constante avec Dieu dans ses saintes ordonnances. Tous les enfants de Dieu désirent demeurer dans la maison du Père. Non pas pour séjourner une nuit, en tant que voyageur itinérant, ou temporairement, comme une servante qui ne veut pas rester dans la maison de ses maîtres toute sa vie, mais pour demeurer tous les jours de leur vie, comme des enfants avec un Père. Croyons-nous que nos prières à Dieu seront les bénédictions de notre éternité? Nous devrions certainement y consacrer beaucoup de notre temps. Nous devrions avoir cela à coeur plus que tout autre chose. Quel que soit l’état de la vie du chrétien, il doit considérer la faveur ou la grâce divine comme la chose la plus nécessaire. C’est ce qu’il doit désirer, demander dans la prière, rechercher, et en tout cela il se réjouira.

Matthieu 4 : 23-25

23 Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple.
24 Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, des lunatiques, des paralytiques; et il les guérissait.
25 Une grande foule le suivit, de la Galilée, de la Décapole, de Jérusalem, de la Judée, et d’au delà du Jourdain.


23-25 Partout où Christ est allé, il a confirmé sa mission divine par des miracles, qui étaient les emblèmes du pouvoir de la guérison de sa doctrine, et des influences de l’Esprit qui l’accompagnait. Si nous ne trouvons pas toujours la guérison miraculeuse du Sauveur dans nos corps, mais si nous sommes guéris par la médecine, la louange en revient également à Christ. Il guérissait toute maladie ou infirmité; nulle n’était mauvaise; nulle n’était trop délicate, car Christ guérissait avec une parole. Trois maladies sont nommées: la paralysie, qui est la plus grande faiblesse du corps; l’aliénation mentale, qui est la plus grande maladie de l’esprit; et la possession du diable, qui est la plus grande misère et calamité de tout; cependant Christ a tout guéri, et en guérissant ainsi des maladies corporelles, il a montré que sa grande mission dans le monde était de guérir les maladies spirituelles. Le péché est la maladie, l’infirmité, et le tourment de l’âme: Christ est venu pour chasser le péché, et ainsi guérir l’âme.

Marc 7 : 14-15

14 Ensuite, ayant de nouveau appelé la foule à lui, il lui dit: Ecoutez-moi tous, et comprenez.
15 Il n’est hors de l’homme rien qui, entrant en lui, puisse le souiller; mais ce qui sort de l’homme, c’est ce qui le souille.


14-15 Ayant répondu à la question des Pharisiens sur la tradition opposée au commandement, Jésus se tourne maintenant vers la foule pour traiter du problème de la souillure. Il le fait au moyen d’une comparaison révolutionnaire dans ses implications religieuses et appelée à libérer la chrétienté des liens du légalisme. D’une part, rien d’extérieur ne peut souiller l’homme ; d’autre part, la source réelle de toute impureté réside à l’intérieur, ce n’est pas l’affaire des mains, mais du cœur.

Actes15 : 4-7

4 Arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l’Eglise, les apôtres et les anciens, et ils racontèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux.
5 Alors quelques-uns du parti des pharisiens, qui avaient cru, se levèrent, en disant qu’il fallait circoncire les païens et exiger l’observation de la loi de Moïse.
6 Les apôtres et les anciens se réunirent pour examiner cette affaire.
7 Une grande discussion s’étant engagée, Pierre se leva, et leur dit: Hommes frères, vous savez que dès longtemps Dieu a fait un choix parmi vous, afin que, par ma bouche, les païens entendissent la parole de l’Evangile et qu’ils crussent.


4 Quand il arriva à Jérusalem, Paul se rendit auprès des apôtres et des anciens en privé et leur raconta en détail comment il avait prêché aux païens. Ils durent admettre qu’il s’agissait du même Evangile qu’ils avaient prêché aux Juifs.
5 Apparemment, ce fut lors d’un rassemblement public que quelques-uns du parti des pharisiens qui étaient croyants se levèrent et affirmèrent que les païens devaient être circoncis et observer la loi de Moïse de façon à être de véritables disciples.
6 Les apôtres et les anciens se réunirent. Une réunion des apôtres et des anciens de Jérusalem était nécessaire. C’était pendant l’année 51, environ vingt ans après l’ascension de Christ. Un apôtre avait souffert le martyre; onze, y compris Matthias, étaient encore en vie, bien que certains étaient peut-être en d’autres lieux éloignés. Jacques, le "frère du Seigneur," bien que n’étant pas l’un des Douze, était un responsable de l’église de Jérusalem, et les historiens ont souvent parlé de lui comme le pasteur, ou l’évêque de Jérusalem. Il est certain qu’il était un membre influent des chrétiens judaïsants. Voir Ga 2: 12
7-10 Lorsque Pierre se leva, l’opposition pensa peut-être qu’il allait soutenir leur position. Après tout, Pierre était l’apôtre de la circoncision. Cependant, leurs espoirs furent réduits à néant. Pierre rappela à l’auditoire que quelques années auparavant Dieu avait décidé que les païens entendraient d’abord la Parole de l’Evangile de sa bouche. Cet événement eut lieu dans la maison de Corneille. Quand Dieu vit que le coeur de ces païens était rempli de foi, Il leur donna le Saint-Esprit, « comme à nous, les Juifs », le jour de la Pentecôte. A cette époque, Dieu n’exigea pas que les païens fussent circoncis. Le fait qu’ils étaient païens ne faisait aucune différence ; Il purifia leurs coeurs par la foi. Puisque Dieu avait accepté les païens sur le principe de la foi et non sur celui de l’observance de la loi, Pierre demanda à l’Assemblée pourquoi ils envisageaient de mettre les païens sous le joug de la loi-un joug que ni leurs pères ni eux n’avaient pu porter. La loi n’avait jamais sauvé personne. Son rôle consistait à condamner, non à justifier. Par la loi vient la connaissance du péché, non la libération du péché.


Actes 15 : 19-20

19 C’est pourquoi je suis d’avis qu’on ne crée pas des difficultés à ceux des païens qui se convertissent à Dieu,
20 mais qu’on leur écrive de s’abstenir des souillures des idoles, de l’impudicité, des animaux étouffés et du sang.


19 C’est pourquoi. Puisque c’est évidemment la volonté de Dieu, "je suis d’avis qu’on ne leur crée pas de difficultés". Avis. Cet avis est en réalité une décision.
20 S’abstenir des souillures des idoles. Quatre points sont ici mentionnés, et qui sont tous inclus dans la lettre apostolique comme des choses interdites. Il s’agissait de quatre coutumes du monde païen, et sur lesquelles les choses devaient être claires. Le premier point ne visait pas seulement à restreindre le culte des idoles, ou à manger des nourritures offertes en sacrifice à des idoles, mais de s’éloigner de toutes les pollutions du système de l’idolâtrie. Le libertinage et l’ivrognerie devenaient sanctionnés par la religion. L’impudicité. La chasteté était l’exception au lieu d’être la règle parmi les païens à cette époque. Des animaux étouffés. Parce que par l’étouffement le sang était retenu dans la chair. L’utilisation du sang était interdite par la loi Mosaïque, et pour de sages raisons cette interdiction fut étendue aux païens. Les épicuriens Romains faisaient noyer des volailles dans du vin pour en consommer la chair. Il était courant de boire du vin mêlé de sang. Le seul moyen de combattre ces pratiques sauvages était de les interdire


1 Théssaloniciens 5 : 23

23 Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ!

23 Le Dieu de paix. Qui accorde la paix de l’âme. Vous sanctifie lui-même tout entiers. Qu’il vous rende saints sous tous les rapports. Que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps. Que l’être humain tout entier soit préservé, et soit irréprochable.

1 Corinthiens 6 : 19-20

19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes?
20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.


19 Paul rappelle aux Corinthiens leur noble et sainte vocation. Ont-ils oublié que leurs corps sont le temple du Saint-Esprit ? L’Ecriture affirme solennellement que chaque enfant de Dieu est habité par l’Esprit de Dieu. Comment pourrions-nous dans ces conditions livrer à un usage vil notre corps qu’habite le Saint-Esprit ? De plus, non seulement notre corps est le temple du Saint-Esprit, mais nous ne nous appartenons pas à nous-mêmes. Nous n’avons pas le droit de disposer de notre corps comme nous l’entendons. En définitive, notre corps appartient au Seigneur et non à nous.
20 Vous avez été rachetés à un grand prix. Christ a payé le prix, le prix de son sang. Et depuis, notre corps et notre esprit appartiennent à Dieu, et doivent être utilisés pour le glorifier. Le fait que nous soyons à lui, rachetés, faisant partie de son temple spirituel, nous met dans l’obligation absolue de consacrer notre corps et notre esprit à son service.
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